1fa9f.space

Dorian Renard
“Veille”
☀ 🌙

22 Mai -
21 Aout 2025

104 rue Paradis, 13006 Marseille
24/7

fr
en

1fa9f.space est une vitrine d’exposition 🪟👀 située au 104 rue Paradis à Marseille ☀. Un espace à but non lucratif qui fait voir le travail d’artistes 👫👬 émergeants
et établis de la scène locale et internationale 🌍.

  • Fondé en 2024 à l’initiative de Victoire Coyon, Adrien Menard et leurs amis, 👫👫👬 ce projet se distingue par son format : une vitrine peu profonde 🪟 (143 × 78 × 19 cm), qui s’offre aux regards des
    passants 🚗👬👫 de jour comme de nuit.

  • La vitrine tire son nom de la valeur unicode (U+) du caractère (Fenêtre) : 🪟 en language emoji : 1fa9f.

  • S’écartant du format traditionnel des galeries commerciales, le programme d’exposition de 1fa9f.space ressemble à celui d’une kunsthalle 🏛, avec des délais de présentation plus longs (trimestrielles) permettant aux passant de s’intéresser aux oeuvres et a son evolution pendant toute la durée d’une saison 🌥.

  • L’approche curatoriale se concentre sur des pratiques de recherche 🔍 et d’expérimentation 🌀 qui interrogent nos habitudes, nos comportements et les contextes : qu’ils soient matériels ou immatériels. 1fa9f tente de transmettre les réalités dans lesquelles nous vivons aujourd’hui.

Exposition en cours

22 mai - 21 Aout 21 2025
Dorian Renard
“Veille” ☀ 🌙

1fa9f poursuit son programme d’expositions avec l’artiste Dorian Renard. Dans Veille, Renard présente une œuvre sculpturale où la lumière devient le sujet. Au gré des variations lumineuses, la pièce oscille — parfois nette, parfois insaisissable.

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Archives

Contact

104 rue Paradis, 13006 Marseille✉️contact@1fa9f.space🌀Instagram

Crédits

Art direction & Design par edition.studio 👫


Coding par 👽 Julien Privat

Vitrine 🏗 par Lionel Dalmazzini

Projet soutenu par Focus Focus

14 novembre -15 février 2025
Louise Belin
“Burn-in” 🔍🖼

Louise explore les thèmes de la déformation, de l’oubli et de la disparition dans un monde numérique saturé et hypermnésique. Elle collecte des “images pauvres” et “signaux faibles” pour révéler l’inconscient collectif, ses angoisses et fascinations. Derrière la surproduction d’images se cache la réalité du vide, ce qu’elle nomme : “les ruines du virtuel”. Sa peinture, miroir de ces fragments, dévoile des vestiges du numérique. “Burn-in” interroge le réel, la nature de l’image et entraîne le spectateur dans un voyage temporel.

Louise Belin explore les "ruines du virtuel" — des images numériques fatiguées qui subsistent comme fragments de mémoire collective. En les peignant, elle leur redonne attention et fragilité, créant un atlas d’images oubliées, où ces vestiges renaissent sous une forme nouvelle, fixe et permanente.

Pour "Burn-in", Louise Belin réalise une peinture par mois d’exposition, capturant les changements subtils d’un même plan de caméra de surveillance, soulignant l'inactivité et l’usure du motif, comme une empreinte fantomatique. En représentant des scènes neutres et anonymes, étirées dans le temps, elle détourne l'idée de surveillance centrée sur l'action et désamorce la fonction utilitaire de ces images. "Burn-in" explore la temporalité numérique en mettant en avant l'épuisement visuel d'un motif répété, similaire au "burn-in", dysfonctionnement où une image statique finit par s'imprimer de façon permanente sur l'écran.